Michna Avot 2,1 — 6e partie

La dernière partie de cette michna fait, elle-aussi, très clairement référence à la doctrine épicurienne, notamment à la Lettre à Ménécée. Alors qu’Épicure propose une morale du plaisir et du déplaisir construite sur la comparaison avec leurs conséquences sensibles, Rabbi Yéhouda, lui, parle au présent. Il faut considérer l’existence au présent. Contre la doctrine épicurienne, Rabbi Yéhouda maintient l’idée d’un Dieu exerçant une providence. >>> pdf 

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