Michna 1,11 — 4/4

La profanation du Nom se définit d’après ses occurrences dans le Pentateuque comme une falsification de la qédoucha, que nous rendons par le terme d’excellence. La qédoucha est une qualité invisible, ce qui dit quelque chose de la nature de la sainteté et de l’excellence.

La suprême excellence reste Dieu, avec laquelle on ne peut jamais se confondre. L’effort vers l’excellence amène la suprême excellence à passer de l’invisible au visible. >>> pdf

Michna 1,11 — 3/4

Quel est le sens des « eaux amères » de notre michna? Il s’agit du lieu où se trouve la parole du maître quand elle est possédée par des élèves qui n’auraient pas su se hisser à la compréhension du maître. Le maître doit tenir des propos clairs sans faire déchoir son enseignement au niveau de la foule. Le risque de « mésinterprétation » de la foule est inéluctable. >>> pdf

Michna 1,11 — 2/4

On avait vu dans le cours du 23 avril dernier la difficulté des commentateurs à expliquer la michna. Tous conviennent que maïm har‘aïm est une métaphore des disciples incorrects. Pour le reste, ils sont moins sûrs. Pour nous, il ne s’agit pas d’une métaphore isolée, la michna tout entière est une parabole. Seuls les élèves et les maîtres sont à prendre au sens propre… >>> pdf

Michna 1,11 — 1/4

Ce cours présente la michna avec les principaux commentaires des commentateurs. Il sera établi que l’ensemble du dire d’Avtalion est à entendre comme une parabole encourageant les maîtres à la vigilance dans l’enseignement. >>> pdf

Michna Avot 1,10 — 4/5

Dans la deuxième partie de notre michna, il est question de rabanout. Nous montrerons comment la haine de la rabanout s’articule à l’amour du travail et en quoi les deux premières proposition de Chemaya se complètent. >>> pdf